Pourquoi adhérer à l'AVP en 2022 ?
Pourquoi adhérer à l'AVP en 2022 ?

Créer du lien au sein de l’association et nous connaître un peu mieux. Parce qu’une association c’est avant tout créer des occasions de se rencontrer, d’échanger, nous avons décidé de déclencher ces occasions afin que tous les adhérents puissent avoir un vrai rôle participatif, que chacun puisse...

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Comment adhérer à l'Association ?
1 - Chez nos représentants :
TAHITI : Tahiti Yacht Accessoire à la marina Taina (Michel Baltzer)
HIVA OA : Maintenance Marquises Service (Chantier naval)
FAKARAVA : Fakarava Yacht Services (au village)
FAKARAVA : Pakokota Yacht Services (Pension Pakokota)
2 - Ou en ligne sur ce site
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- Accès privilégié à des bons plans partagés
- Participation aux commandes groupées
- Des informations actualisées au quotidien
- Des forums pour s'exprimer et échanger
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L'Association des Voiliers en Polynésie c'est avant tout un réseau de :
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Home Posts Categorized as “Le p’tit colibri de l’AVP” (Page 2)

Espace de “lobbying” du p’tit colibri de l’AVP qui tente de montrer ici le travail de l’ombre de l’Association vis à vis des médias, des personnes en charge de responsabilités, …

La situation des voiliers de passage, résidents et charter devient insupportable à Tahiti

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Depuis des années, les infrastructures des Îles de la Société sont saturées. Or, durant la crise sanitaire, la plupart des bateaux de passage ont été contraints par les autorités locales, de rejoindre Tahiti. Ceci a eu pour effet de concentrer les voiliers, notamment devant l’aéroport.
La situation actuelle
À cet endroit, une vingtaine de bateaux actuellement (le 2 juin 2020) dont les situations sont diverses. Une quinzaine de voiliers de voyage sont la plupart en escale technique. Certains, en l’absence de fret, sont dans l'attente de pièces ou de prestataires pour effectuer une maintenance indispensable avant de reprendre la mer. D’autres en attente d’équipages qui ont été dispersés au gré des expirations de visas ou des difficultés des voyages aériens. D'autres encore attendent l’ouverture des frontières de leur prochaine destination dans le Pacifique — rappelons que nos propres frontières sont toujours fermées — . Une poignée de catamarans de charter sont au mouillage pour éviter de payer des charges en l’absence de touristes. C’est pourtant à cet endroit même que le ministre de l’équipement et des transports terrestres avait demandé aux voiliers en octobre 2019 de mouiller pour pouvoir libérer la zone jusque là tolérée devant le projet du “village tahitien”. Une vingtaine de voiliers se trouvent encore dans cette zone. Sommés de quitter les lieux sans délais et sans alternative.
Cette situation a conduit à la création du collectif Tearai à Faa’a et à de nombreuses difficultés avec les riverains et les autorités tout autour de Tahiti et à un sentiment de rejet entretenu par les discours en particulier et la presse en général.
La pression s’accentue
L’association alerte pourtant le gouvernement depuis des années sur l’absence de création d’infrastructures et sur la grogne des riverains.
Depuis quelques jours, la pression s’est encore accentuée. Le Port Autonome interdit et empêche de façon arbitraire les voiliers de mouiller légalement dans le lagon. Pour ceux qui sont déjà présents, la vedette du Port Autonome vient les chasser fermement en invoquant une réglementation qui n’existe pas. C’est donc en bafouant la liberté et la loi (pour rappel, AUCUNE LOI n'interdit le mouillage), la réglementation maritime et la sécurité des navires et de leurs équipages, que le Pays chasse les derniers touristes encore présents sur le territoire.
Le conseil des ministres prépare un arrêté portant sur la réglementation du mouillage à Faa’a et Punaauia qu’il publie en hâte sur le site de la DPAM. Ce n’est pas suffisant pour le rendre légal. Le futur arrêté interdit strictement le mouillage sur ancre dans ces zones mais autorise “une installation d’ancrage appropriée” en clair, un corps mort. Ce qui revient, au plus fort de la saison des voiliers à les chasser à coup d’amendes prévues pour les contraventions de 4e classe... en attendant la pose de corps-morts.
La charrue avant les bœufs
Peut-être que des actions sur le terrain seraient plus utiles que des actions sur le papier. Car il nous semble que dire qu’il faut prendre des corps morts avant de les créer, c’est mettre la charrue avant les bœufs. Aucune solution réaliste n’est proposée. Les voiliers ne veulent pas d’une zone de mouillage à l’aéroport que les riverains rejettent. Au plus fort de la saison, nous pensons que le mouillage devant le “village tahitien”, un projet qui mettra des années à sortir de terre est une solution de transition acceptable. Ce mouillage est toléré depuis des années, il est indispensable en ce moment.
Le gouvernement doit prendre des mesures réalistes et légales et protéger les voiliers, locaux et de passage contre la vindicte populaire et les abus de pouvoir tant du port autonome, des municipalités que des résidents qui tous, se croient autorisés à légiférer dans leur pré carré au mépris des lois du pays et des arrêtés du gouvernement. Les autorités du pays doivent assurer la tranquillité des voiliers et non les mettre en danger en leur ordonnant un départ du jour au lendemain au mépris de toutes les règles de sécurité en mer.
Les touristes et les résidents en voiliers aspirent à des mouillages sereins et calmes dans une Polynésie apaisée et de nouveau souriante.
L'Association des Voiliers en Polynésie.

Droit de réponse des plaisanciers à l’attention des médias

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L’Association des Voiliers en Polynésie réclame un droit de réponse à l’ensemble des fausses vérités véhiculées par les médias et colportées sur les réseaux sociaux.
Fort est de constater que ces 2 dernières semaines, la communauté des plaisanciers a été l’objet d’un déversement d’agressivité, de haine, de violence et de menaces physiques dont elle ne saurait accepter plus longtemps sans réagir.
La stigmatisation des plaisanciers a été en effet attisée par une série de reportages et interventions télévisées à charge en occultant volontairement la réalité des faits et la situation objective que les plaisanciers rencontrent en cette période tout à fait particulière et inédite. (illustrations en annexes 2 et 4)
Sur Tahiti, des débordements graves ainsi que des abus de pouvoir nous ont été rapportés. Des résidents, des associations et même des mairies exercent une pression très forte en menaçant de représailles physiques des plaisanciers qui se sont aventurés à mouiller dans leur droit le plus absolu dans des zones autorisées.
Les autorités maritimes n’ont eux-mêmes su empêcher ces débordements gravement répréhensibles qui portent atteinte à la liberté de chacun de disposer légalement du domaine maritime public à partir du moment où il en respecte les règles.
De nouvelles règles ont donc été édictées de façon totalement illégales afin de chasser les plaisanciers du domaine maritime de façon arbitraire.
Nous faisons le constat aujourd’hui d’une situation explosive dont les autorités vont avoir à supporter les conséquences si la vérité sur la réalité actuelle n’est pas clairement exposée.
L’Association oeuvre sans relâche à défendre l’image de la plaisance et tente régulièrement au travers de différentes actions de rétablir la vérité sur le mode vie souvent ignoré et fantasmé des plaisanciers.
→ Mise en place de la Charte ECOCEAN qui a pour vocation de résoudre la plupart de la problématique en sensibilisant les plaisanciers visiteurs sur les spécificités de la Polynésie et à les inciter à un comportement encore plus rigoureux qu’ailleurs car un écosystème fragile et peu d’infrastructure.
  • Rejets des eaux noires et grises dans le lagon : "Pollution du lagon" ?
Eaux noires : Tous les bateaux fabriqués depuis 15 ans sont TOUS équipés de cuves à eaux noires = cuves de rétention qui agissent comme une fosse septique.
Eaux grises : Partenariat avec TIKITEA pour approvisionner les bateaux dès leur arrivée aux Marquises de détergents 100% écologique sans aucun impact sur le lagon. (Tikitea → Emploi local)
→ Selon le rapport des eaux de baignade 2019 (annexe 1) qui vient d’être publié, il est incontestable que la pollution du lagon vient de la terre, et à l’endroit où se trouve la plus grande concentration de voiliers, les eaux de baignade sont vertes et bleues !
L’argument du collectif TEARAI de Faa’a VAITUPA largement médiatisé qui met en cause la pollution des voiliers ment à la population : la pollution vient bien de la terre, la qualité de l’eau relevée à VAITUPA est impropre à la baignade. Un comble de rejeter la responsabilité sur les voiliers...
  • Idées reçues du voilier pollueur :
La plupart des voiliers sont un exemple écologique
- Tous les voiliers qui se trouvent sur le territoire ont traversé les océans à la voile et continuent à le faire en Polynésie (Zéro émission de gaz à effet de serre, le même qui est généré par les avions et cargos qui sera à l’origine de la disparition des atolls du Pacifique avec la montée des eaux)
- Ils produisent leur propre énergie uniquement avec le soleil et le vent.
- Ils produisent leur propre eau douce grâce à un système embarqué de désalinisation.
- Ils limitent leur production de déchets au maximum (pour un problème de stockage et parce qu’ils n’ont pas accès au système terriens de traitement ou dépotoirs.
La plupart des plaisanciers participent largement au nettoyage du lagon au travers d’actions personnelles (photos de ramassage des déchets terrestres flottants par les enfants bateaux : annexe 3) ou collective : organisation des clean-up days en coordination avec des associations.
  • Mouillage de l’aéroport :
Seule zone de mouillage disponible pour tous les voiliers à qui on a demandé de quitter les Marquises pour se rendre sur Papeete. Toutes les marinas de Tahiti étant saturées.
- Une compagnie de charter locale y entrepose également ses bateaux (jusqu’à ¼ des bateaux présents sur le mouillage) -
La plupart des plaisanciers qui occupent actuellement ce mouillage sont des touristes en transit en attente de pouvoir quitter la Polynésie pour une autre destination du Pacifique (Dont toutes les frontières sont pour l’heure toujours fermées).
Ces bateaux n’ont donc pas vocation à s’installer sur ce mouillage, ils le quitteront dès qu’il leur sera possible de naviguer à nouveau. Il faudra rappeler à l’ordre les 2 ou 3 voiliers qui auraient l’intention de s’y installer à l’année.
Pour l'heure aucune nouvelle réglementation n'est venu modifier l'occupation de cette zone malgré les indications de Mr BOUISSOU lors de la réunion avec les plaisanciers en 2019.
  • Problème des épaves :
L’Association ne cesse de dénoncer et d’alerter les pouvoirs publics sur ce problème. Il faut que le pays légifère pour pouvoir intervenir sur les bateaux qui sont abandonnés afin qu’ils soient extraient de l’eau et déconstruit avant qu’il devienne une épave.
Plus de 1400 épaves de voitures ont été récupérées ces dernières années sur la voie publique pour être compactées et envoyées en Nouvelle Zélande. C’est probablement plus de 5000 épaves qui doivent encore être disséminées partout sur le territoire. Pourquoi le territoire n’est aujourd’hui pas capable de légiférer également pour se débarrasser des épaves de bateaux ?
  • Réalité sur les retombées économiques de la plaisance en Polynésie :
L’Association des Voiliers en Polynésie a effectué ces derniers jours grâce à son réseau, une étude auprès de plus de 350 plaisanciers afin de déterminer clairement les chiffres de ce que cette forme de tourisme (la seule présente probablement en 2020 sur le territoire) apportait à l’économie du Fenua.
Nous publierons prochainement en détail cette étude jamais réalisée en Polynésie à ce niveau.
Quelques chiffres essentiels à retenir issus de cette étude :
- 72% des plaisanciers actuellement sur le territoire sont de passage et seuls 65% d’entre eux resteront moins d’un an en Polynésie.
Ce qu’il faut comprendre c’est que ces 72% représente un flux touristique donc pas vocation à s’installer en Polynésie.
- En grande majorité, ils vont visiter les 5 archipels (Ils vont dépenser partout en Polynésie, même sur des îles non développées par le tourisme traditionnel).
- Les marinas ne sont qu’un stop, souvent obligé plus ou moins long pour les plaisanciers : 75% d’entre eux dépensent chacun entre 200 000 et 1M par an en marina en Polynésie, mais ils n’ont pas vocation à rester dans une marina puisqu’ils sont pour les ¾ uniquement de passage.
Dépense moyenne d’un plaisancier pendant son séjour en Polynésie :
Dépenses dans l’entretien annuel du bateau : 584 000 xpf/an
Dépenses dans la main d'œuvre locale (prestataires techniques) : 371 000 xpf/an
Dépenses en place de marina et Corps-morts : 277 000 xpf/an
Dépense moyenne d’un plaisancier pour son quotidien en Polynésie :
Dépenses dans la nourriture/téléphone/internet/essence/… : 171 000 xpf/mois
Dépenses dans les loisirs : prestataires touristiques (activités/location voiture/restaurants/… : 92 000 xpf/mois
Dépenses dans l’artisanat et les vendeurs ambulants : 26 500 xpf/mois
Ce que dépense leur famille et amis étrangers qui viennent les visiter pendant chaque séjour à bord : 275 000 xpf
En conclusion, il apparaît que la plaisance en Polynésie est une ressource essentielle à la Polynésie.
Les plaisanciers sont et seront probablement cette année les seuls touristes que la Polynésie sur lesquels elle peut compter.
La stigmatisation incessante de cette communauté et la médiatisation effectuée autour d’elle est en train de cristalliser un REJET de la population que les plaisanciers reçoivent de façon violente et insupportable.
Cette situation est en train d’entacher gravement l’image de la Polynésie sur les réseaux et cela va définitivement mettre un frein considérable au redémarrage du tourisme.
Les plaisanciers sont une catégorie de touristes dont la Polynésie n’a pas le luxe de se passer aujourd’hui face à la crise profonde qui l’attend.
Il nous apparaît donc évident qu’il en va de la responsabilité de tous de rétablir les vérités afin de réduire cette stigmatisation dommageable à l’ensemble de la Polynésie.
Nous faisons donc appel au médias télévisés notamment afin qu’il nous offre la possibilité de nous exprimer.
Bien cordialement,
L’Association des Voiliers en Polynésie

Lettre à la Présidence et au Haut-Commissariat de PF

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Lettre à la Présidence de la Polynésie française et au Haut-Commissariat de la République en Polynésie française

M. le Haut Commissaire, M. Le président,
L’association des Voiliers en Polynésie compte un peu plus de 250 membres, dont environ la moitié de voiliers étrangers. Elle compte 460 abonnés à sa lettre d’information. Son site web est principalement consulté en Polynésie française mais aussi, dans cet ordre, aux États Unis, en France, au Canada, en Nouvelle-Zélande et au Panama.... La portée de ses publications facebook est d’environ 7000 personnes pour un peu moins de 1200 abonnés. Elle a notamment pour ambition de travailler à l’amélioration du déficit d’image des voiliers dans le paysage touristique de la Polynésie française. Elle rappelle aussi aux plaisanciers leurs devoirs en rendant accessible les informations sur la réglementation et les bonnes pratiques, en particulier celles concernant la préservation de l’environnement et le respect des usages locaux.
Les actions les plus récentes de l’AVP incluent la création d’EcOcean, une charte de bon comportement environnemental et sociétal, une information dynamique aux yachts tant locaux qu’étrangers concernant les réglementations dans le cadre du Covid 19 (visas longs terme, court terme, obligation d’autorisations diverses, interdictions diverses) et plus récemment incitation forte aux voiliers en partance de Panama, Mexico, Équateur, etc… de ne PAS venir en Polynésie française actuellement.
La plaisance est confrontée à un nombre de problèmes à un moment ou elle représente une planche de salut potentielle pour l'économie du territoire post-Covid.
Le virus a anéanti le tourisme. Il ne s’agit pas d’un épiphénomène qui va durer quelques semaines. Il est vraisemblable que l'année 2020 sera au stade zéro en terme de tourisme. ZÉRO.
Or les voiliers sont les seuls touristes qui restent dans les îles. La Polynésie a le choix de les inciter à partir, ou de tenter de les inciter à rester une saison de plus. Ils seront les seuls touristes à pouvoir contribuer à l'économie du fenua pendant un moment (chantiers navals, maintenance, dépenses de bouche, de transport, etc…)
Dans le même temps, le sentiment de défiance envers les voiliers croît et tourne à la violence, verbale ou physique. Les plaisanciers sont assimilés à des vecteurs d’infection, malgré les semaines en mer avant d’arriver, ou malgré le fait qu’ils sont en Polynésie depuis plusieurs mois, voire plusieurs années.
Le traitement qui leur est infligé, autant de la part de certains maires que d’une partie de la population locale et les exigences de partir sous 48 heures, venir sur Papeete, etc... va les faire partir dès que le confinement sera levé. Plusieurs initiatives de voiliers australien, néo-zélandais et US sont ainsi en cours.
Si ceci continue, il n’y aura donc plus AUCUN touriste en PF et ce pour longtemps. Est-ce ce que le territoire veut ?
Les exemples récents de rejet ou de maltraitance se multiplient :
  • Fakarava où un élu lance des pierres sur les annexes qui s’approchent du rivage pour s’approvisionner.
  • Huahine ou un mutoi exige que les voiliers mouillent a au moins 500 m les uns des autres.
  • Raiatea, où une élue fait la tournée des mouillages pour exiger que les plaisanciers portent un masque quand ils vont faire leurs courses (alors que cette obligation ne touche pas le reste de la population).
  • Nuku Hiva, où seules deux annexes sont autorisées à être au ponton à tout instant (pour environ 80 bateaux dans la baie).
  • Tahiti, Marina Taina et mouillage de l’aéroport, où des pêcheurs passent à 5h du matin et tournent autour des bateaux au mouillage en criant des insultes en trois langues (« Mother fucker » « enculés » « Titoi »)
Le tout alors que les voiliers ont été dans l’ensemble un exemple de respect du confinement.
Tout ceci n’est ni digne, ni efficace en termes économiques.
Les solutions possibles :
  • Traiter les voiliers existants correctement : pourquoi insister à faire venir tous les voiliers à Tahiti où ils sont extrêmement mal reçus (exemple Taina et l'aéroport). Au contraire, les inciter à rester ou ils sont, et les motiver pour rester une saison de plus.
  • Permettre la navigation intra-archipels dans les endroits exempts de contamination.
  • Être à l'écoute des problèmes d’immigration des étrangers coincés ici. Ex.: visas court terme à Makemo, obligation de repartir dès l'arrivée, etc…
  • Communiquer positivement avec les voiliers en attente à l’EST (cotes US, mexicaines, Panama, Equateur) : Ils sont nos prochains touristes: leur dire clairement qu’ils seront bienvenus quand l'épidémie sera sous contrôle. Si rien n’est fait, beaucoup ne viendront pas.
  • Communiquer SURTOUT avec la population locale: les plaisanciers vont être une des rares source de revenues dans les 18 mois à venir. Cessez de les considérer comme un risque, considérez les comme une opportunité. Cette recommandation est la plus importante, et de loin : la réputation de l’accueil légendaire polynésien est en train d’en prendre un sérieux coup, et la réputation du territoire est très sérieusement menacée, et pas seulement dans le monde de la voile.
L’Association des Voiliers en Polynésie, seule association regroupant toute la plaisance en Polynésie (aussi bien les résidents que les voiliers de passage, US en particulier) a ses réseaux et les met à disposition du haut commissariat et du gouvernement :
  • Page Facebook AVP
  • Groupe Facebook French Poly Cruisers group
  • Reseau BLU PolyMag net
  • Liens avec divers influenceurs US
  • Liens avec divers magazines spécialisés (Voiles et Voiliers, Cruisers magazine, Cruiser’s forum)
  • Réseaux VHF dans différents mouillages (Nuku Hiva, Hiva Oa, Taina, faciles à mettre en place ailleurs).
Nous souhaitons qu’il y ait une volonté politique au plus haut niveau, qui se décline dans les arrêtés, mais aussi les messages aux maires, aux différentes instances du gouvernement et de l’administration (DPAM en particulier) et à la population générale : Les voiliers sont une opportunité pour le Fenua.
Association des Voiliers en Polynésie
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