Pourquoi adhérer à l'AVP en 2022 ?
Pourquoi adhérer à l'AVP en 2022 ?

Créer du lien au sein de l’association et nous connaître un peu mieux. Parce qu’une association c’est avant tout créer des occasions de se rencontrer, d’échanger, nous avons décidé de déclencher ces occasions afin que tous les adhérents puissent avoir un vrai rôle participatif, que chacun puisse...

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Comment adhérer à l'Association ?
1 - Chez nos représentants :
TAHITI : Tahiti Yacht Accessoire à la marina Taina (Michel Baltzer)
HIVA OA : Maintenance Marquises Service (Chantier naval)
FAKARAVA : Fakarava Yacht Services (au village)
FAKARAVA : Pakokota Yacht Services (Pension Pakokota)
2 - Ou en ligne sur ce site
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Actualités

“Escales” risks becoming “No way !”

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It's official, since it's been published in the newspapers and on the Radio1 website ("Escales", the teleservice for ships in Polynesia). The Direction Polynésienne des Affaires Maritimes is starting to implement its "single, compulsory reservation portal" for all boats entering Polynesian waters.
Basically, a sailboat in Panama will have to register on the site and reserve the moorings it wishes to make in French Polynesia! This means reserving dates: on the 4th of such and such a month I'll be in Nuku Hiva, on the 18th I'll be in Ua Pou, on the 14th of the following month I'll be in Makemo, on the 31st I'll be in Rangiroa, on ... etc etc ....
All this will have to be planned, bearing in mind that the yacht is still 8,177 km away ... as the crow flies! and that there's still a huge part of the Pacific to cross, with not inconsiderable meteorological and technical hazards!
When this remark was made to the Maritime Cluster during the presentation of the pre-project, we were told: "When a tourist leaves Europe to come to Polynesia, he first makes sure he has a hotel room! It's the same for sailboats!

Setting up such a system for yachtsmen is therefore absurd.

The DPAM's idea is to be able to know, at any time, where each sailboat is, by regulating all anchorages? It's true that at present, not a single administrative or other entity is able to say how many yachts are in Polynesian waters.
But it seems to go even further: the DPAM wants to control everything by privatizing a public space!

Of course, the AVP has no problem with this being regulated - quite the contrary, in fact... BUT it has to be done in consultation with all stakeholders, first and foremost the yachtsmen who will be the first to be affected by these measures. Particularly as they are the most likely to be able to present the particularities of their way of life ... in order to avoid decisions that cannot be applied. *

The examples are obvious. The DPAM has started to regulate anchorages on Raiatea, and the AVP asks for information: "OK, it's ready, we'll keep you informed! Same thing on Fakarava for the declaration of the anchorage management project: "The bylaws are ready. We'll consult you.
The illustration of "being presented with a fait accompli" couldn't be better!

In the light of a few echoes and rumours, it doesn't seem too far-fetched to raise the question of how all these "corps-morts" are to be installed, managed and maintained. Indeed, to do this, we're going to need to find some ... serious managers, we'd be tempted to say. The example of Bora Bora doesn't seem to point in that direction. American insurance companies won't let sailboats insured with them sit on moorings with no certainty of maintenance.

 

The project has the merit of clearly setting out a necessary reflection on the "increase in maritime traffic". That's true. But let's be careful not to set up a one-sided, or almost one-sided, debate and then impose it, as the project will not be able to adapt to yachting as it stands. Or it could, but that would mean the disappearance of yachting in Polynesia. Is it reasonable to deprive ourselves of a financial windfall in these difficult times?

Common sense is disconcerting. Those who are allergic to it always have a bit of "I do what I want" about them. The ambition of consultation must be aimed at. Only then will common sense prevail.

 

* It's worth noting that the Commune de Moorea has finally opened its doors to possible consultation with boaters for the next PGEM. We would like to thank them for this step forward, and look forward to hearing from them soon.

 

“Escales” risque de devenir “Passe mon tour”

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Ça y est ... c'est officiel, puisque que paru dans les journaux et notamment sur le site de Radio1 ("Escales", le téléservice des navires en Polynésie). La Direction Polynésienne des Affaires Maritimes commence à mettre en place son "portail de réservation unique et obligatoire" pour tous les bateaux qui entreront dans les eaux polynésiennes.

En gros, un voilier se trouvant au Panama devra donc s'inscrire sur le site et réserver les mouillages qu'il souhaite faire en Polynésie française ! Cela signifie réserver des dates : le 4 de tel mois je serai à Nuku Hiva, le 18 je serai à Ua Pou, le 14 du mois d’après je serai à Makemo, le 31 je serai à Rangiroa, le ... etc etc ...
Il faudra planifier tout cela sachant que le voilier se trouve encore 8 177 km ... à vol d'oiseau ! et qu'il reste une énorme partie du Pacifique à traverser avec des aléas météorologiques et techniques non négligeables !
Quand cette remarque a été faite au Cluster Maritime lors de la présentation du pré-projet, il nous a été répondu : « Quand un touriste part d’Europe pour venir en Polynésie, il s’assure d’abord d’avoir une chambre d’hôtel ! Pour les voiliers, c’est pareil ! »

La mise en place d’un tel dispositif pour les plaisanciers est donc ubuesque.

L’idée de la DPAM est de pouvoir savoir, à tout moment, où se trouve chaque voilier par une régulation de tous les mouillages ? Il est vrai qu’à l’heure actuelle, pas une seule entité administrative ou autre est capable de dire le nombre de voiliers de plaisance dans les eaux polynésiennes.
Mais cela semble aller plus loin : la DPAM veut tout contrôler en privatisant un espace publique !

Que cela soit régulé, certes, l’AVP n’y voit pas d’inconvénients bien au contraire d’ailleurs … MAIS il est nécessaire que cela soit en concertation avec tous les protagonistes, en premier lieu les plaisanciers qui vont être les premiers impactés par ces mesures. D’autant plus que ce sont les plus à même de présenter les particularités qu’impliquent leur mode de vie … afin d’éviter des décisions qui ne pourront pas s’appliquer. *

Les exemples sont flagrants. La DPAM a commencé à réglementer les mouillages à Raiatea, l’AVP demande des informations : « OK, c’est prêt, on vous tiendra informé ! ». Même chose à Fakarava pour la déclaration du projet de gestion des mouillages : « Les arrêtés sont prêts. On vous concertera. »
L’illustration « d’être devant le fait accompli » ne peut pas être meilleure !

Au vu des quelques échos et bruits de couloir, il ne paraît pas hautain de se poser clairement la question de savoir comment tous ces corps-morts vont être posés, gérés et entretenus. En effet, pour cela, il va falloir trouver des gestionnaires … sérieux, serions nous tentés de dire. L’exemple de Bora Bora ne semble pas aller dans ce sens. Les assurances américaines ne laisseront pas les voiliers assurés chez eux se mettre sur des corps-morts sans certitude sur leur entretien.

 

Le projet a le mérite de poser clairement une réflexion nécessaire sur l’« augmentation du trafic maritime ». Certes. Mais attention à ne pas mettre en place une réflexion unilatérale, ou presque, et à l’imposer par la suite car le projet ne pourra pas s’adapter à la plaisance tel quel. Ou alors si, mais c’est par conséquent la disparition de la plaisance en Polynésie qui serait envisagée. Est-il raisonnable de se priver d’une manne financière en ces temps difficiles ?

Le bon sens est désarçonnant. Ceux qui y sont allergiques ont toujours un peu de « Je fais ce que je veux » sur eux. L’ambition de la concertation se doit d’être visée. Ce n’est qu’à ce prix que le bon sens pourra l’emporter.

 

* Remarquons que la Commune de Moorea a enfin ouvert ses portes à une éventuelle concertation avec les plaisanciers pour le prochain PGEM. C’est une avancée, nous les remercions et espérons être contactés prochainement.

2ème étude de l’UPF sur la plaisance en PF (2022)

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Voici un résumé de ce qui ressort de la seconde étude de l'Université de Polynésie Française concernant la perception de la plaisance pour l'année 2022.

Avec l'aimable autorisation de Pierre Ghewy.

Ce travail est le résultat d’un recueil de données réalisé, en avril 2022, par 65 étudiants de la Licence 3 Economie-Gestion de l’Université de la Polynésie Française (UPF) dans le cadre de leur cours d’Etudes de marché. Pour réaliser ce travail, la promotion a développé une problématique d’étude puis rédigé le questionnaire associé. Afin d’avoir une vision la plus large possible du sujet, une étude qualitative a précédé la rédaction du questionnaire. Chaque étudiant a ensuite administré au moins six questionnaires autour de son lieu d’habitation. Le résultat donne un échantillon de 562 questionnaires exploitables et représentatifs de la population polynésienne sur les variables du genre et de l’âge des répondants.

RÉSUMÉ

La comparaison des études 2021 et 2022 sur la plaisance montre des similarités de résultats. Ce premier constat tend à donner à penser que l’outil de mesure est assez fiable.

Comme l’année précédente, les avis vis-à-vis de la plaisance opposent deux blocs d’individus, cependant les évaluations globales se sont adoucies au bénéfice de la plaisance et des plaisanciers par un transfert des personnes neutres vers une évaluation plus positive. La proportion des personnes opposées à la plaisance reste la même. Ces constats peuvent, peut-être, s’expliquer par la communication institutionnelle et média réalisée.

Dans le même ordre d’idée, les réponses à la question de l’appartenance du lagon se sont lissées : les extrêmes ont migré vers la réponse neutre.

Les éléments les plus influents pour comprendre l’attitude vis-à-vis de la plaisance sont, tout d’abord, la perception que la plaisance n’a que peu d’apport économique pour les polynésiens puis l’intégration des plaisanciers dans le tourisme et enfin la proximité culturelle. L’implication dans l’environnement est d’une importance plus faible. Il semble donc possible de conclure, à la lecture de ce modèle de régression que les répondants rejettent l’autre, le plaisancier, parce qu’il n’est pas comme eux et ne leur apporte rien économiquement. L’assimilation des plaisanciers aux touristes peut nuancer cette position. En effet, la communication du gouvernement répète depuis longtemps que le tourisme est le moteur économique de la Polynésie française.

Les variables « Activité réservée aux riches » et « Activités sportives dans le lagon » (mesurées en nombre ou en temps) n’ont pas de lien significatif avec la variable à expliquer, l’Attitude vis-à-vis de la plaisance. Elles sont souvent évoquées dans les médias et réseaux sociaux par la population mais ne semblent être, finalement, que des prétextes pour justifier le rejet des plaisanciers.

Ces résultats valident ceux mis en évidence par l’étude précédente, réalisée en 2021.

Comme lors de l’étude précédente, l’économie et la culture sont confirmées comme les variables parmi les plus importantes pour expliquer le rejet des plaisanciers par la population. Les répondants rejettent l’autre parce qu’il n’est pas comme eux et, économiquement, ne leur apporte rien. Le facteur environnemental, souvent mis en avant pour justifier une attitude négative vis-à-vis de la plaisance et des plaisanciers, est effectivement relevé comme un élément justifiant ce comportement mais, dans les deux modèles, il est plus faible que la culture et l’économie. L’environnement ne serait donc qu’un prétexte pour cacher d’autres motivations. Ce comportement paradoxal est bien connu en marketing. Pour justifier le besoin pour un produit, les motivations exprimées ne sont pas toujours celles qui fondent réellement la décision ou le comportement1.

Concernant le facteur économique, est-ce de la faute des plaisanciers que l’échange économique n’ait pas lieu ou est-ce dû à la faiblesse des offres commerciales à leur adresse ? Quoiqu’il en soit, dans tous les cas, supprimer la plaisance, comme semble le présager le PGEM adopté pour Moorea, le 10 septembre 2021 par le conseil des Ministres, c’est supprimer toute possibilité d’échanges commerciaux possibles. Pourtant, au travers de ces résultats, il semble que les polynésiens les réclament. Les plaisanciers les souhaitent également, comme le montre la conclusion du chantier Fari’ira’a Mahini 2025 sur le potentiel économique local de la plaisance2.

1 Selon Y. Evrard, B. Pras et E. Roux (2000), Market-études et recherches en marketing, Dunod, Liège,

2Voir Fari’ira’a Manihini 2025, le chantier « Comment exploiter localement le potentiel économique de la plaisance touristique à voile » par P. Ghewy


Exemples de questions et de leurs analyses

Q1 : Concernant la pratique de la plaisance en Polynésie française, tu y es : opposé / favorable

Question en différentiel sémantique à 7 modalités de réponse : 1 = Opposé ; 7 = favorable.

La majorité de répondants (somme des réponses pour les modalités 3, 4 et 5 = 55,2%) ont un avis plutôt neutres vis-à-vis du développement de la plaisance. Les extrêmes de la courbe sont étonnamment forts : 29,7% (modalité de réponse 6 et 7) sont très favorables au développement de la plaisance contre 14,9% très défavorables (modalité de réponse 1).

Par rapport à la dernière étude, il y a eu un transfert de la majorité, plutôt neutre, vers des réponses plus favorables à la plaisance. La proportion des opposants n’a pas variée.

Q11 : La plaisance à voile peut avoir des effets négatifs

Facteur 1 : problèmes environnementaux

Items: Les infrastructures mises en place pour la plaisance (ports, corps morts, quais, etc.) dégradent l’environnement naturel ; Une augmentation de plaisanciers sur le territoire amènera des problèmes entre les plaisanciers et les polynésiens ; Les plaisanciers dégradent les paysages (pollution visuelle) ; Les voiliers endommagent les coraux du lagon ; Les voiliers causent la diminution de la biodiversité (poissons, coraux, tortues, etc.) dans le lagon ; Les voiliers polluent les lagons (rejet d’huile de moteur et des eaux usées : toilettes, vaisselle, déchets alimentaires) ; La plaisance à voile accentue le problème de la gestion des déchets dans les îles ; Les plaisanciers ne respectent pas les réglementations locales (zones, durée de mouillage, zones de pêche, etc.).

Facteur 2 : Problèmes de cohabitation

Items: La présence des voiliers gêne les autres activités : baignade, pêche, va’a, kitesurf, pirogue à voile, etc ; Les plaisanciers ne font pas suffisamment d’efforts pour protéger l’environnement ; Les épaves de voiliers abandonnées sont de plus en plus nombreuses ; La plaisance augmente le nombre d’accidents en mer et dans le lagon ; La plaisance renforce les problèmes sociaux (drogue et importations diverses).

Facteur 3 : plaisance gaspillage

Items: L'amélioration des installations publiques pour la plaisance (ports, corps morts, quais, etc.) est un gaspillage de l'argent des contribuables polynésiens ; Les infrastructures et aménagements pour la plaisance à voile ne bénéficient qu’à peu de polynésiens ; Les revenus de la plaisance à voile ne profitent qu'à peu de polynésiens.

D’une année sur l’autre, contrairement aux éléments positifs, les éléments négatifs de la plaisance ne montrent pas d’évolution significative. La perception des éléments négatifs associés à la plaisance n’a pas évolué, quand celle de ses éléments positifs s’est améliorée. Pour améliorer encore l’attitude vis-à-vis de la plaisance, il faut poursuivre le travail de communication sur ce qu’elle apporte au territoire mais aussi réduire, tant que possible la perception de ses effets négatifs.

Q5 : Classes ces éléments du plus polluant au moins polluant le lagon : (1 pollue le + ; 9 pollue le - )

1 – eaux usées des habitations 2 – infrastructures pour la plaisance 3 – épaves de voiliers 4 - hôtels 5 – vedettes à moteur
6 – voiliers dans le lagon 7 – jet-skis 8 – pêche professionnelle 9 - agriculture

Les voiliers en bon état n’arrivent finalement qu’au 6ème rang des éléments perçus comme polluant le lagon.

Les épaves de voiliers arrivent troisième position. De la même manière qu’il semble qu’une minorité de répondants soient très hostiles à la plaisance et aux plaisanciers (voir Q1 et Q3-8), il semble qu’une minorité de plaisanciers, ceux qui laissent leur voilier dépérir puis couler dans le lagon, soient perçus comme polluant. Les uns et les autres ont un comportement exagéré qui exacerbe probablement les tensions.

Compte rendu AG du 20/04/2023

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Compte rendu

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ordinaire

de l’Association des Voiliers de Polynésie

du 20 avril 2023

Lieu : Hilton de Tahiti – salle Fenua

Présents :

- 24 adhérents présents
- les membres du Bureau (Arnaud JORDAN, Président – Éric PINEL-PESCHARDIÈRE, Vice-président – Michel KARANAKIAN, Trésorier – Yann MOUËLLO, Secrétaire – Didier ALPINI, Secrétaire adjoint)

Début : 18h00

ORDRE DU JOUR

Bilan moral

Bilan financier

Élection du bureau
L'élection se fait par scrutin de liste de 3 à 6 membres. Les listes se font connaître à ce moment-là et disposent de temps pour exposer leur programme.

Objectifs 2023

Questions diverses

 

 

INTRODUCTION

L’AVP défend la plaisance en Polynésie française et est attaquée de toute part. La principale réside dans le fait que les institutions ont une vision de la plaisance bien précise : OK pour des voiliers non habités et qui ne bouge pas ! Or les infrastructures ne suivent évidemment pas.

L’AVP tente de défendre l’espace publique maritime mais là encore l’association se heurte à des visions bien différentes de la part des gestionnaires locaux, d’où des discussions nécessaires sur la régulation des mouillages car l’AVP n’est pas forcément contre des régulations, encore faut-il qu’elles ne soient pas ubuesques.

BILAN MORAL

Les adhésions sont en baisse depuis 2020 (224 en 2022 ; 245 en 2021 ; un peu plus de 300 en 2020) alors que le nombre de sympathisants sur les réseaux augmente depuis ce temps.
En 2022, le partenariat avec l’assureur DeLassée a récolté plus de fond que les adhésions, c’est la première fois.

Les actions menées en 2022

- la Newsletter animée par le secrétaire (difficulté de la tenir mensuelle)

- Prises de paroles régulières dans les médias locaux (Journaux télévisés) : les médias appellent de plus en souvent l’AVP ; bonne chose mais parfois difficile de répondre (exemple : Combien de voiliers en Polynésie française ? »)

- Suivi régulier du site internet et mise à jour des actualités / Facebook / twitter.

- Présence aux différentes réunions sur le sujet du PGEM et du mouillage en général en Polynésie (Cluster maritime, Moorea)

- Participation à la soirée des donateurs de la #FEPSM la fédération des sauveteurs en mer. On y retrouve le #JRCC, le @cluster Maritime et les autorités du pays et de l'état -> l’idée de Puces Nautiques à venir organisées avec tout le monde ! À mettre en place

- Action en justice PGEM Moorea – Requête en appel à la Cour administrative de Paris  4 décembre 2022 car sur la forme il apparaît que l’Association aurait gagné (versement de des 150 000 XPF) or sur le fond l’AVP n’est pas satisfaite, d’où l’appel.

Grâce à l’intervention de Poema du Prel (cf ci-dessous), participation aux débats et à l’élaboration du futur PGEM de Moorea

- Suivi de la mise en place par la DPAM des différentes réglementation dans les îles et du téléservice (https://www.radio1.pf/escales-le-teleservice-des-navires-en-polynesie-bientot-operationnel/)

L’idée du projet semble être de savoir où se trouve chaque bateau afin de pouvoir réguler tous les mouillages de Polynésie française. Il faudra donc effectuer une déclaration préalable de son trajet de plaisance en dans les îles polynésiennes !
À quelle moment a eu lieu la concertation ? Réponse de la DPAM : «  Les arrêtés sont prêts, on vous concertera. »

CONTRE : 0 ABSTENTION : 1 POUR : 27

BILAN FINANCIER

CONTRE : 0 ABSTENTION : 1 POUR : 27

ÉLECTION DU BUREAU

Seule la liste sortante, avec une petite modification, se présente avec les personnes suivantes :

Arnaud JORDAN – Président

Poema du Prel, Vice-présidente

Michel KARANAKIAN, Trésorier

Yann MOUËLLO, Secrétaire

Didier ALPINI, Secrétaire adjoint

Objectifs pour 2023 de cette liste

- Communication :

* faire faire par une société professionnelle des petites vidéos, style portrait d’une personne, afin de créer des supports de communication sur les emplois locaux engendrés par  la plaisance  et sur son impact en Polynésie pour lutter contre les idées reçues, notamment l’argent dépensé localement car la plupart des riverains ne savent pas que les plaisanciers paient des redevances (bouée, ordures, marina, …)
=> à diffuser auprès des médias (Vidéos, Publi-reportages, dossiers de presse)

=> en recherche de l’équipe professionnelle pour le faire

* continuer les publications « coup de pub » au nombre de clics sur les réseaux sociaux pour des informations positives (ex : le don des 150 000 XPF à la FEPSM)

=> quelques adhérents émettent l’hypothèse que ces publications peuvent être aussi contre-productive en déclenchant des réactions de haine

- L’Association a été contacté par un énième projet pour s’occuper des épaves de voiliers : « Du large à la Terre ». Sur le principe, l’AVP est d’accord.
Affaire à suivre car bien souvent ce genre de projet se heurte à des grosses difficultés techniques de récupération.

- Mouillages réglementés de Raiatea ! Là encore, la DPAM fait les choses à l’envers : « C’est prêt ! On vous tiendra informé ! »

- Organisation d’événements (Puces Nautiques, Pot-lucks,...) afin de créer du lien entre les plaisanciers => projets événements

- Organisation d’ateliers de formation (Sur la sécurité, l’entretien, l’écologie lié à la plaisance, ...) => projets formations

- Augmenter le nombre de partenaires professionnels, développer l’Ecolabel ECOCEAN en multipliant les partenariats pour augmenter sa notoriété et sa valeur, développer les adhésions à l’AVP => projet développement

Élection du Bureau

CONTRE : 0 ABSTENTION : 0 POUR : 28

QUESTIONS DIVERSES

- Pourquoi observe-t-on une baisse des adhérents ?
Cela peut s’expliquer en partie par la perte de quelques représentants de l’AVP (notamment aux Marquises, Michel Baltzer, …) et par le manque de communication aussi. Ce dernier point est à mettre en parallèle avec le temps de travail que cela impose : chaque personne dans l’Association apporte le temps qu’il peut, qu’il veut.

- Pourrait-on organiser un pot une fois dans l’année ?

Oui, il faudrait alors trouver l’endroit et l’organiser en même temps que les Puces Nautiques.

=> une personne est venue proposer son aide sur ce sujet : Victoria RODIER du voilier KOULOU KOULOU, en contact avec Arnaud.

19h25 le Président lève la séance.

 

Le secrétaire de séance : MOUËLLO Yann

Le Président : JORDAN Arnaud

PGEM Moorea – Requête en appel à la Cour administrative de Paris

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Suite au verdict du recours effectué contre le PGEM de Moorea (septembre 2022), l'AVP a décidé de faire appel devant la Cour administrative d'appel de Paris.

Voici à titre d'information la requête d'appel proposée par notre avocat, Me Thibaud MILLET de SELARL M.L.D.C.

221117 REQUETE APPEL AVP Paris

MAJ – Modification d’une zone de mouillage à Bora Bora / Removal mooring

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Nous vous transmettons cette information émanant de la DPAM concernant la zone J de mouillage à Bora Bora.

Prenez connaissance des points GPS de la zone et visualisez la carte sur ce document   AVINAV 4657

MISE À JOUR 29 NOVEMBRE 2022

JOPF Arrêté n° 2444 CM du 23_11_2022

JOPF Arrêté n° 2445 CM du 23_11_2022

 

 

NAVIGATORS ARE INFORMED OF THE REMOVAL OF THE ANCHORAGE NAMED "HITIAA 1" LOCATED AT THE FOLLOWING GPS COORDINATES:

Longitude: 151° 44.459’W

Latitude: 16° ​​27.978'S

DUE TO THE INSTALLATION OF A NEARBY WATER SUPPLY NETWORK

Dossier AVP dans Pacific Pirates Media !

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L'Association a décidé de commencer à interpeller certains médias pour faire connaître l'état des lieux de la plaisance en Polynésie française à l'heure actuelle.
Dominique Schmitt nous a proposé de faire un dossier sur le site Pacific Pirates Media.

Dossier AVP dans Pacific Pirates Media.
Un grand merci à lui et son équipe !

Le dossier n'apprendra pas forcément grand chose à tous ceux et toutes celles qui suivent nos informations sur le site mais espérons que cela touche de nombreuses autres personnes qui pourraient ainsi prendre conscience du problème de la gestion de la plaisance en Polynésie française.

Ce dossier pourrait être transmis à d'autres médias locaux, nationaux et internationaux.
Nous vous tiendrons bien évidemment informés !

Attention à la navigation dans HUAHINE !

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L'A.V.P. informe tous ces adhérents, sympathisants et lecteurs du site qu'une note d'information de la DPAM nous a été adressée concernant une invitation à la plus grande prudence lors de la navigation de jour comme de nuit dans le lagon de Huahine suite à des "travaux de modernisation de l'ensemble du balisage". La période des travaux s'étend du 06/10/2022 au 18/12/2022.

Note Information 4553 du 27.10.2022

Cette information nous a été communiquée par mail. Il est intéressant de noter que cette note d'information est adressée aux pécheurs, aux compagnies de transport interinsulaires, aux prestataires d'activités nautiques (charters, excursions, plongées, randonnées jet-ski, ...).
Les plaisanciers ne semblent donc toujours pas faire partie des usagers du lagon !

Incivilités de plaisanciers !

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Le 23 août dernier, nous avons été alerté par un plaisancier au mouillage de Tahiamanu (Moorea) de l'incivilité d'un autre voilier. En effet, ce plaisancier s'est trouvé être pris à parti par des riverains lui signalant le dépôt de deux poubelles juste devant chez eux, le vendredi soir d'avant (19/08/22) !
D'autant plus dommageable que ces riverains seraient "les seuls" à accepter le débarquement des plaisanciers et l'accrochage des annexes à "leur cocotier".

La plaisance n'échappe pas à la règle : il y a des "brebis galeuses", des personnes non respectueuses (mais qui le seraient tout autant en étant chasseurs, maçons, enseignants, randonneurs, ...), des personnes qui ne semblent pas se préoccuper de  l'image qu'ils peuvent véhiculer  de leur communauté, des personnes ne faisant pas preuve d'empathie, ...
Surtout quand on connaît le contexte actuel de la plaisance en Polynésie française, ce genre de comportement est incompréhensible et évidemment pas constructif.

Chacun a sa propre sensibilité certes, mais il serait bien vu aussi de ne pas oublier le bien commun, au-delà de la simple relation riverains-plaisanciers. C'est avant tout un souci collectif (pour ne pas dire planétaire) que de gérer ses déchets à l'échelle individuelle. À chacun ses responsabilités, il faut les prendre et ne pas laisser la gestion de ses merdes à d'autres ... qu'on soit plaisanciers ou non !

L'AVP  ne peut évidemment pas cautionner ce genre de comportement ... et le fait savoir.

 

 

Rupture of mooring in “Artificial motu” (Raiatea)

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On July 15, the U16 mooring body on the "Motu artificiel" area, managed and rented by the Autonomous Port, broke.
The owner was contacted and taken to the area by the Port Captain of Uturoa. At first sight, there was no major damage, an expertise will certainly be carried out, the sailboat is safe.

This incident raises several questions.

As stated in the owner's sea report, "The mooring line, the float, and the U16 buoy are solidly fixed to the bow of the sailboat, as can be seen in the photos taken by the Port Captain". It does not seem then that the incident comes from a bad manipulation of the owner. This deadweight being one of those recently installed in the "Motu Artificiel" area of the Raiatea lagoon by the Port Autonome de Tahiti, it is therefore on the same model as all the others.
What about all the other moorings? The users of these vessels have the right to ask themselves this question.

Moreover, the Port Authority forbids any anchoring in this zone (on the large sandy area between the channel and the barrier) and forces sailboats to take one of their moorings. However, in this zone, there are no residents nearby, there is only sand, so in principle it would not disturb and would not cause any damage. The question is simple: what are the objective reasons for this ban?

It is possible to dock in Uturoa harbor with a dinghy, but this does not depend on the Autonomous Port! Therefore, how can we consider renting out moorings without a pontoon and without garbage dumps?
The recurring question then arises: why is this area under the control of the Autonomous Port and not the municipality of Uturoa, as the latter has been asking for months?

In conclusion, the majority of boaters are quite willing to pay for moorings in suitable areas, but is it utopian to demand secure, insured moorings that offer docking facilities for dinghies with waste disposal?
When you pay, you get service.
None of this sounds like special requirements, it is what is practiced all over the world ...

 

A matter to be followed very closely.