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Actualités

L’Association des voiliers en Polynésie s’insurge contre les fausses vérités véhiculées par les médias et colportées sur les réseaux sociaux

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Mardi 26 Mai 2020 - écrit par Dominique Schmitt - Tahiti Pacifique

 

"La stigmatisation incessante de cette communauté et la médiatisation effectuée autour d’elle est en train de cristalliser un rejet de la population que les plaisanciers reçoivent de façon violente et insupportable", déplore l'AVP.

"La stigmatisation incessante de cette communauté et la médiatisation effectuée autour d’elle est en train de cristalliser un rejet de la population que les plaisanciers reçoivent de façon violente et insupportable", déplore l'AVP.
"L’Association des Voiliers en Polynésie s'insurge contre les fausses vérités véhiculées par les médias et colportées sur les réseaux sociaux.
Fort est de constater que ces deux dernières semaines, la communauté des plaisanciers a été l’objet d’un déversement d’agressivité, de haine, de violence et de menaces physiques dont elle ne saurait accepter plus longtemps sans réagir.
La stigmatisation des plaisanciers a été en effet attisée par une série de reportages et interventions télévisées à charge en occultant volontairement la réalité des faits et la situation objective que les plaisanciers rencontrent en cette période tout à fait particulière et inédite.
Sur Tahiti, des débordements graves ainsi que des abus de pouvoir nous ont été rapportés. Des résidents, des associations et même des mairies exercent une pression très forte en menaçant de représailles physiques des plaisanciers qui se sont aventurés à mouiller dans leur droit le plus absolu dans des zones autorisées.
Les autorités maritimes n’ont eux-mêmes su empêcher ces débordements gravement répréhensibles qui portent atteinte à la liberté de chacun de disposer légalement du domaine maritime public à partir du moment où il en respecte les règles.
De nouvelles règles ont donc été édictées de façon totalement illégales afin de chasser les plaisanciers du domaine maritime de façon arbitraire.

"Une situation explosive"

Nous faisons le constat aujourd’hui d’une situation explosive dont les autorités vont avoir à supporter les conséquences si la vérité sur la réalité actuelle n’est pas clairement exposée.
L’Association oeuvre sans relâche à défendre l’image de la plaisance et tente régulièrement au travers de différentes actions de rétablir la vérité sur le mode vie souvent ignoré et fantasmé des plaisanciers.
→ Mise en place de la Charte ECOCEAN qui a pour vocation de résoudre la plupart de la problématique en sensibilisant les plaisanciers visiteurs sur les spécificités de la Polynésie et à les inciter à un comportement encore plus rigoureux qu’ailleurs car un écosystème fragile et peu d’infrastructure.Rejets des eaux noires et grises dans le lagon : "Pollution du lagon" ?Eaux noires : Tous les bateaux fabriqués depuis 15 ans sont TOUS équipés de cuves à eaux noires = cuves de rétention qui agissent comme une fosse septique.
Eaux grises : Partenariat avec TIKITEA pour approvisionner les bateaux dès leur arrivée aux Marquises de détergents 100% écologique sans aucun impact sur le lagon. (Tikitea → Emploi local)
→ Selon le rapport des eaux de baignade 2019 (annexe 1) qui vient d’être publié, il est incontestable que la pollution du lagon vient de la terre, et à l’endroit où se trouve la plus grande concentration de voiliers, les eaux de baignade sont vertes et bleues !
L’argument du collectif TEARAI de Faa’a VAITUPA largement médiatisé qui met en cause la pollution des voiliers ment à la population : la pollution vient bien de la terre, la qualité de l’eau relevée à VAITUPA est impropre à la baignade. Un comble de rejeter la responsabilité sur les voiliers...
Idées reçues du voilier pollueur :

La plupart des voiliers sont un exemple écologique

- Tous les voiliers qui se trouvent sur le territoire ont traversé les océans à la voile et continuent à le faire en Polynésie (Zéro émission de gaz à effet de serre, le même qui est généré par les avions et cargos qui sera à l’origine de la disparition des atolls du Pacifique avec la montée des eaux)
- Ils produisent leur propre énergie uniquement avec le soleil et le vent.
- Ils produisent leur propre eau douce grâce à un système embarqué de désalinisation.
- Ils limitent leur production de déchets au maximum (pour un problème de stockage et parce qu’ils n’ont pas accès au système terriens de traitement ou dépotoirs.
La plupart des plaisanciers participent largement au nettoyage du lagon au travers d’actions personnelles (photos de ramassage des déchets terrestres flottants par les enfants bateaux : annexe 3) ou collective : organisation des clean-up days en coordination avec des associations.

Mouillage de l’aéroport :

Seule zone de mouillage disponible pour tous les voiliers à qui on a demandé de quitter les Marquises pour se rendre sur Papeete. Toutes les marinas de Tahiti étant saturées.
- Une compagnie de charter locale y entrepose également ses bateaux (jusqu’à ¼ des bateaux présents sur le mouillage) -
La plupart des plaisanciers qui occupent actuellement ce mouillage sont des touristes en transit en attente de pouvoir quitter la Polynésie pour une autre destination du Pacifique (Dont toutes les frontières sont pour l’heure toujours fermées).
Ces bateaux n’ont donc pas vocation à s’installer sur ce mouillage, ils le quitteront dès qu’il leur sera possible de naviguer à nouveau. Il faudra rappeler à l’ordre les 2 ou 3 voiliers qui auraient l’intention de s’y installer à l’année.
Pour l'heure aucune nouvelle réglementation n'est venu modifier l'occupation de cette zone malgré les indications de M. Bouissou lors de la réunion avec les plaisanciers en 2019.

Problème des épaves :

L’Association ne cesse de dénoncer et d’alerter les pouvoirs publics sur ce problème. Il faut que le pays légifère pour pouvoir intervenir sur les bateaux qui sont abandonnés afin qu’ils soient extraient de l’eau et déconstruit avant qu’il devienne une épave.
Plus de 1 400 épaves de voitures ont été récupérées ces dernières années sur la voie publique pour être compactées et envoyées en Nouvelle Zélande. C’est probablement plus de 5 000 épaves qui doivent encore être disséminées partout sur le territoire. Pourquoi le territoire n’est aujourd’hui pas capable de légiférer également pour se débarrasser des épaves de bateaux ?

Réalité sur les retombées économiques de la plaisance en Polynésie :

L’Association des Voiliers en Polynésie a effectué ces derniers jours grâce à son réseau, une étude auprès de plus de 350 plaisanciers afin de déterminer clairement les chiffres de ce que cette forme de tourisme (la seule présente probablement en 2020 sur le territoire) apportait à l’économie du Fenua.
Nous publierons prochainement en détail cette étude jamais réalisée en Polynésie à ce niveau.
Quelques chiffres essentiels à retenir issus de cette étude :
- 72% des plaisanciers actuellement sur le territoire sont de passage et seuls 65% d’entre eux resteront moins d’un an en Polynésie.
Ce qu’il faut comprendre c’est que ces 72% représente un flux touristique donc pas vocation à s’installer en Polynésie.
- En grande majorité, ils vont visiter les 5 archipels (Ils vont dépenser partout en Polynésie, même sur des îles non développées par le tourisme traditionnel).
- Les marinas ne sont qu’un stop, souvent obligé plus ou moins long pour les plaisanciers : 75% d’entre eux dépensent chacun entre 200 000 francs et 1 million par an en marina en Polynésie, mais ils n’ont pas vocation à rester dans une marina puisqu’ils sont pour les ¾ uniquement de passage.
Dépense moyenne d’un plaisancier pendant son séjour en Polynésie :
Dépenses dans l’entretien annuel du bateau : 584 000 xpf/an
Dépenses dans la main d’oeuvre locale (prestataires techniques) : 371 000 xpf/an
Dépenses en place de marina et Corps-morts : 277 000 xpf/an
Dépense moyenne d’un plaisancier pour son quotidien en Polynésie :
Dépenses dans la nourriture/téléphone/internet/essence/… : 171 000 xpf/mois
Dépenses dans les loisirs : prestataires touristiques (activités/location voiture/restaurants/… : 92 000 xpf/mois
Dépenses dans l’artisanat et les vendeurs ambulants : 26 500 xpf/mois
Ce que dépense leur famille et amis étrangers qui viennent les visiter pendant chaque séjour à bord : 275 000 xpf
En conclusion, il apparaît que la plaisance en Polynésie est une ressource essentielle à la Polynésie.
Les plaisanciers sont et seront probablement cette année les seuls touristes que la Polynésie sur lesquels elle peut compter.
La stigmatisation incessante de cette communauté et la médiatisation effectuée autour d’elle est en train de cristalliser un rejet de la population que les plaisanciers reçoivent de façon violente et insupportable.
Cette situation est en train d’entacher gravement l’image de la Polynésie sur les réseaux et cela va définitivement mettre un frein considérable au redémarrage du tourisme.
Les plaisanciers sont une catégorie de touristes dont la Polynésie n’a pas le luxe de se passer aujourd’hui face à la crise profonde qui l’attend.
Il nous apparaît donc évident qu’il en va de la responsabilité de tous de rétablir les vérités afin de réduire cette stigmatisation dommageable à l’ensemble de la Polynésie".

Voiliers au mouillage à Faa’a : le collectif Tearai en appelle aux autorités

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voiliers navigation faa'a lagon

Usagers, sportifs et riverains demandent aux autorités de stopper les mouillages sauvages. ©THIERRY STAMPFLER/POLYNESIE LA 1ère
Le collectif Tearai s'oppose à l'accueil de voiliers à Faa'a, en dehors de marinas et d'infrastrustures adaptées. Le confinement étant levé, il appelle les autorités à appliquer les réglementations et sortir des mouillages sauvages.

Ce samedi 23 mai, le collectif Tearai, composé de pêcheurs, sportifs, plaisanciers et résidents de Faa'a, ont manifesté sur le lagon de Vaitupa, afin d'interpeller les autorités sur la situation des voiliers au mouillage.

Le collectif demande la création de véritables zones de mouillages ou que les voiliers soient maintenant redirigés vers les marinas existantes.
Avec la période de confinement, jusqu'à 50 navires se sont ainsi installés dans le lagon de Faa'a, y compris des voiliers professionnels inoccupés. Il s'agissait pour ces derniers de bateaux d'excursion relocalisés en raison des loyers trop élevés à la marina de Papeete.

Les sportifs et les pêcheurs se plaignent de ne plus pouvoir circuler normalement sur le lagon, afin de se livrer à leurs activités habituelles.

Le collectif Tearai interpelle ainsi le gouvernement, par le biais d'un courrier adressé au Président Édouard Fritch, réclamant une réglementation visant la protection du lagon. Il regrette de voir les voiliers "entassés" dans de mauvaises conditions et dans des lieux inadaptés à leur accueil, qu'aucune information ne leur soit communiquée sur les points de ravitaillement "d'où une utilisation anarchique des infrastructures", enfin de voir se créer des tensions entre riverains et plaisanciers en "imposant ces choix à la population, par manque d'anticipation et de communication des administrations concernées".

Lors de son point presse mercredi 20 mai, le Président Edouard Fritch avait annoncé que "les voiliers accueillis en surnombre dans les zones de mouillage doivent continuer leur voyage."

Les voiliers jugés indésirables à Mataiea

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voilier mahina

©Caroline Farhi
Les voiliers ne sont pas les bienvenus dans le lagon de Mataiea. Quatre d’entre eux ont été poussés en dehors par les pompiers de Teva i uta. Installés depuis une semaine, ils ont été sommés de quitter les lieux.

Les voiliers ne sont pas les bienvenus dans le lagon de Mataiea. Quatre d’entre eux ont été chassés hors du lagon de Vaima par les pompiers de Teva i uta. Ils y étaient installés depuis une semaine.

Du côté de la coopérative Tehoro Rava'ai, c’est une bonne chose. Les pêcheurs ne veulent plus que ces voiliers viennent polluer la marina de Tehoro. Deux voiliers avaient déjà coulé dans la marina et ce sont eux qui sont allés les sortir. "Les propriétaires, on ne sait même pas où ils sont, explique Dolo Terorotua, trésorier de la coopérative Tehoro Rava'ai. On a dû les sortir car ils polluent le lagon. C'est pour ça, les voiliers qui se sont installés la semaine dernière [...] ils viennent sur place, ils font ce qu'ils veulent...on ne veut plus que ça se passe comme ça. Il faut un règlement."

Les deux voiliers hors de l’eau attendent leurs propriétaires.

Les voiliers sont dans des zones de mouillage autorisées par la nouvelle réglementation… pas encore en vigueur

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Le ministère en charge des Transports insulaires a expliqué ce jeudi que les zones actuellement occupées par les voiliers font partie des zones autorisées par la nouvelle réglementation, qui doit être examinée au prochain conseil des ministres. Et qu'il s'agit d'une situation exceptionnelle liée à la crise du Covid-19.

Publié le 14/05/2020 à 15:54 - Mise à jour le 14/05/2020 à 17:16

Le cas des voiliers qui occupent des zones de mouillages non autorisées par la réglementation actuelle, notamment à Faa’a, a été porté jusqu’à l’assemblée de la Polynésie par une question orale de la représentante Tapura Teura Tarahu-Atuahiva.

Jean-Christophe Bouissou, le ministre en charge des Transports interinsulaires, a tenu à la rassurer ce jeudi au cours de la séance de la session administrative de l’assemblée : « ce qui se passe dans nos lagons est sous contrôle », indique-t-il dans sa réponse.

Il explique que les zones actuellement occupées par les voiliers font partie des zones autorisées par la nouvelle réglementation dont le texte sera examiné par le prochain conseil des ministres.

« En réalité, face à l’urgence de la crise induite par la pandémie du Covid 19, les autorités ont anticipé l’application de cette nouvelle réglementation, en intégrant dans le dispositif d’accueil des voiliers les nouvelles zones de mouillage, pour pouvoir faire face à l’afflux des plaisanciers déjà présents ou arrivant dans nos eaux. Tous les navires avaient ordre de rejoindre un port, de préférence le port de destination », précise-t-il avant d’annoncer plus loin que « la levée progressive du confinement et l’autorisation qui sera donnée prochainement aux voiliers de pouvoir reprendre la mer mettront fin à cette occupation exceptionnelle et temporaire du lagon ».

« Dans l’ensemble, on peut dire à plus de 95%, les voiliers ont été respectueux des mesures de restriction imposées et des riverains. Les comportements regrettables restent très marginaux et ne sont absolument pas imputables aux seuls voiliers » qui « représentent un atout économique réel pour notre pays et notre tourisme », poursuit le ministre.

Il précise que la Direction Polynésienne des Affaires Maritimes a assuré l’inventaire et le suivi quotidien des 588 voiliers présents sur l’ensemble de la Polynésie française, et dont 148 sont présents sur la zone urbaine de Papeete, Faa’a et Punaauia, qui relève de la circonscription du Port Autonome de Papeete. « Sur ces 588 voiliers présents dans nos eaux, seule une dizaine a posé quelques difficultés qui ont nécessité l’intervention de la gendarmerie maritime », assure-t-il.

tntv.pf - Vaiana Hargous

J-C Bouissou: “Les voiliers ne sont pas pestiférés”

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Le ministre des Transports interinsulaires, Jean-Christophe Bouissou, est longuement intervenu ce jeudi matin à l’assemblée de la Polynésie française sur la présence de bateaux de plaisance dans certaines zones de mouillage non autorisées.

Le sujet a été soulevé par la représentante de la majorité, Teura Tarahu-Atuahiva, sous la forme d’une question orale au gouvernement.

En effet, après Punaauia, ce sont les riverains de Faa’a qui voient d’un mauvais oeil cette occupation du lagon de la zone urbaine de Tahiti jugée nocive à tous points de vue.

D’emblée, le ministre concerné a tenu à rassurer les élus: “Tout ce qui se passe dans nos lagons est sous contrôle”.

Cet afflux de plaisanciers s’explique en partie par la crise sanitaire du Covid-19 et l’obligation qui a été faite aux navires de rejoindre un port, de préférence le port de destination, après fermeture de la navigation maritime. Mais c’est promis, assure J-C Bouissou: “La levée progressive du confinement et l’autorisation qui sera donnée prochainement de pouvoir reprendre la mer, mettront fin à cette occupation exceptionnelle et temporaire du lagon”.

Pour autant, le ministre affirme qu’à plus de 95%, les voiliers ont été respectueux des mesures de restriction et que d’une manière plus générale, “les voiliers ne sont pas des pestiférés”.

Et de dresser un inventaire précis, preuve que tout est sous contrôle: selon la Direction polynésienne des affaires maritimes, on dénombre 588 voiliers présents sur l’ensemble du territoire dont 148 rien que dans la zone urbaine de Papeete, Faa’a et Punaauia relevant de la circonscription du Port autonome de Papeete. Seule une dizaine a posé quelques difficultés qui ont nécessité l’intervention de la gendarmerie maritime.

Enfin, notons que sur 2019, jusqu’à ce jour, pas moins de 23 épaves de navires (thoniers, voiliers, poti marara etc…ont été retirées des lagons et des récifs dont 22 par les propriétaires eux mêmes, parfois après sommation.

 

Tahitinews.co - 14 mai 2020

La navigation possible mais limitée

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À compter du 29 avril 2020 et jusqu'au 12 mai 2020, un nouvel arrêté du Haut-commissaire de la république en Polynésie française réglemente la navigation de plaisance :

Art. 10.—

La navigation de plaisance inter-îles est interdite et limitée à deux milles des eaux intérieures de l'île où le navire est stationné.

Il est interdit à tout navire de plaisance effectuant un voyage international à destination de la Polynésie française de faire escale, de mouiller ou stationner, de débarquer en mer toute personne dans les eaux intérieures et la mer territoriale de la Polynésie française jusqu'à nouvel ordre.

Art. 11.—

Par dérogation à l'article 10, le chef du service des affaires maritimes, en lien avec l'autorité maritime locale, peut autoriser l'escale ou le mouillage d'un navire de plaisance en situation de nécessité technique ou d'approvisionnement sous réserve des engagements internationaux. L'autorisation est délivrée pour une durée limitée.

Dans ce cas, les navires de plaisance doivent s'annoncer quarante-huit (48) heures avant l'arrivée, le capitaine doit se signaler en indiquant l'état de santé des personnes embarquées au port de Papeete et au JRCC en précisant le cas échéant les symptômes (fièvre, toux...).

Les passagers et membres d'équipage de ces navires autorisés à faire escale ne sont pas autorisés à débarquer, à quai ou en mer sans avoir observé une quarantaine à bord du navire de 14 jours à partir de leur dernière escale.

Source officielle : http://lexpol.cloud.pf/document.php?document=394570&deb=3590&fin=3593&titre=QXJyw6p0w6kgbsKwIDE2OTggQ0FCIGR1IDI4LzA0LzIwMjA=&fbclid=IwAR2y7L-o4D_CEtjf0TnBaKfy3GBC6whm7_StEhndJ6-27gUnWhcZsqPBPsw

Les navigateurs de Hiva Oa parfaitement organisés et respectueux des règles de sécurité

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Hiva Oa

Les plaisanciers de Hiva Oa aux Marquises nous indiquent s'être organisés, en partenariat étroit avec les autorités de l'île, pour mettre en place et appliquer strictement des règles de prévention, dès l'origine du confinement et du couvre feu liés à la crise du coronavirus.
Dans un courrier signé "les navigateurs de la baie de Tahauku" les navigateurs de Hiva Oa indiquent :
"Les plaisanciers de la baie de Tahauku à Hiva Oa se sont organisés depuis le premier jour du confinement pour lutter avec la population et les autorités locales contre l’épidémie mondiale du Corona virus.Conscients de la dangerosité que représenterait une épidémie de COVID-19 pour ces îles éloignées de Tahiti,  les voiliers en confinement ont mis en place avec les autorités locales , le PCS et le centre de soins de Atuona des mesures pour éviter d’être une charge médicale supplémentaire pour l’ile de Hiva Oa.Deux médecins, un dentiste et une pharmacienne, tous bénévoles, ont spontanément offert leur aide pour renforcer en cas de besoin l’équipe médicale de Atuona. Ils dispensent avec l’accord des médecins locaux les premiers conseils et soins à la communauté nautique confinée sur leurs bateaux, dans la mesure de leurs moyens, afin de ne pas encombrer le dispensaire.Par ailleurs, d’autres compétences ont été mises à la disposition des habitants et des voiliers dans des domaines aussi variés que; l’informatique, l’électronique, la mécanique, communication, et même la coiffure.
Comprenant les craintes de la population concernant la propagation du virus, les plaisanciers respectent scrupuleusement le confinement et le couvre-feu imposés par les autorités polynésiennes, n’hésitant pas à aller au-delà des contraintes préconisées, car ils ont à coeur de rassurer les habitants de Hiva Oa qui les ont accueillis.

Les autorités locales, les gendarmes, les bénévoles du Sémaphore et du PCS gèrent avec beaucoup d’efficacité et toujours en concertation étroite avec les voiliers, cette crise sans précédent et ont organisé le mouillage de façon exemplaire.

Une entraide bienveillante entre les navires et les autorités s’est installée dans le plus strict respect des uns et des autres et la protection de tous.

Le ravitaillement des plaisanciers qui ne sont pas autorisés à se rendre à terre pour le moment est fait par livraison au quai et sans contact direct, ceux-ci deux fois par semaine et de l’eau filtrée est également mise à notre disposition, un réseau Wi-Fi, base vitesse a été mis en place dans la baie pour que la majorité des voiliers puissent avoir accès à Internet.
Le contact est permanent entre la communauté nautique, le Sémaphore et les gendarmes par VHF canal 16 ou par téléphone, pour ceux qui avons un portable!

Un groupe de discussion a été créé entre tous les voiliers, en anglais et en français et diffuse tous les matins à 8h sur le canal VHF les informations concernant l’organisation du quotidien des confinés et relayant les instructions des autorités. Un agenda, très bien détaillé est en place chaque matin.

De cette façon nous pouvons gérer les priorités, l’entraide entre tous et diffuser la météo locale chaque jour. Cette  gestion intelligente permet l’acceptation de ces mesures exceptionnelles et concoure à l’efficacité du confinement et à la réussite du combat que nous menons tous ensemble contre le Corona virus à Hiva Oa et dans tous les mouillages de Polynésie".

https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/marquises/hiva-oa/les-navigateurs-de-hiva-oa-parfaitement-organises-et-respectueux-des-regles-de-securite-819516.html

La communauté nautique est mobilisée à Taiohae

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La communauté des voiliers de la baie de Taiohae à Nuku Hiva, a décidé de se mobiliser en faveur de la population et des autorités en ces temps difficiles

"La population peut compter sur toutes les bonnes volontés de la communauté nautique présente dans la baie de Taiohae", expliquent les plaisanciers.
« La population peut compter sur toutes les bonnes volontés de la communauté nautique présente dans la baie de Taiohae », expliquent les plaisanciers. (©Ti’Amara’a)

 

Les plaisanciers présents dans les îles des Marquises, en particulier la communauté des voiliers de la baie de Taiohae à Nuku Hiva, sont solidaires et ont décidé de se mobiliser en faveur de la population et des autorités en ces temps difficiles.

« Face à l’accueil exemplaire qui nous est réservé, notre devoir est d’appliquer scrupuleusement les règles de confinement et de couvre–feu. Tous les matins, par radio, les équipages sont connectés pour suivre et partager les derniers développements venant du gouvernement, du haut-commissariat, de la direction de la santé et des autorités locales et organiser le quotidien des confinés à bord », expliquent Bernard et Sandra, à bord du catamaran Ti’Amara’a. « La logistique a ainsi été adaptée afin de limiter au maximum les déplacements à terre : regroupement de commandes, livraisons de fruits et légumes à quai… »

Les voiliers de Taiohae se sont aussi mobilisés en faveur de l’hôpital et de la mairie. Ils ont dressé une liste de compétences médicales, paramédicales et techniques disponibles à leurs bords : médecins, infirmières, chimistes spécialisés en traitement des eaux, ingénieurs (électrique, électronique, maritime), pompiers, menuisiers, chauffeurs poids lourds, traducteurs, enseignants… Des hommes et des femmes qui se rendent bénévolement disponibles pour assister les structures locales afin « de venir à bout de l’ennemi commun que représente le Covid-19 ».

La dépêche de Tahiti, le 31 mars 2020
https://actu.fr/societe/coronavirus/la-communaute-nautique-est-mobilisee-taiohae_32697349.html

 

Covid-19 : Synthèse des textes en vigueur

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1 - Vous êtes arrivés jusqu’au 21/3/2020 :

Vous êtes autorisés à rester sur place. Pas de navigation inter-îles, ni intra-lagon, sauf si approuvé par la DPAM
À compter du 29 avril 2020 et jusqu'au 12 mai 2020, La navigation de plaisance est limitée à deux milles des eaux intérieures de l'île où le navire est stationné. Pas de navigation inter-îles, ou intra-archipel, sauf si approuvé par la DPAM. Pas de navigation de plaisance entre Tahiti et Moorea.

2 - Vous êtes arrivés après le 21/3/2020 :

Les autorités vous demandent de venir sur Papeete. Vous êtes autorisés à vous arrêter en route pour réapprovisionner ou pour raison médicale.

Document à remplir préalablement :

Document officiel : https://www.service-public.pf/dpam/wp-content/uploads/sites/20/2020/03/FICHE-DEROGATON-NAVIRE-PLAISANCE-v2-.pdf 

Document entièrement traduit : https://voiliers.asso.pf/?p=3846Yachts

3 - Vous n’avez pas encore quitté votre port à l'étranger : 

Il ne faut donc pas quitter votre port actuel car les eaux polynésiennes sont fermées, et la grandes majorité des autres ports du Pacifique aussi sont fermés. Restez où vous êtes.

4 - Vous êtes en navigation à destination de la Polynésie :

Avertir les Affaires Maritimes de la Polynésie et la vigie de Papeete 48h avant l'arrivée par email :

AFFAIRES MARITIMES

VIGIE DU PORT AUTONOME DE PAPEETE

Vous n'êtes pas autorisés à débarquer sans avoir observé une quarantaine à bord de 14 jours au moins depuis votre dernière escale.

Vous devez également remplir ce formulaire et le faire parvenir aux Affaires Maritimes de la Polynésie ET au port autonome afin de vous identifier : https://voiliers.asso.pf/?p=3849

5 - Vous avez choisi de continuer dans le Pacifique

Une escale technique est possible à Tahiti pour réapprovisionner.
Il faut avertir la DPAM ainsi que la vigie du port autonome de Papeete (coordonnées ci-dessus) et donner la date estimée d’arrivée sur Tahiti et dans quelle marina afin d’obtenir une dérogation.
Marina Taina : marinataina@mail.pf
Marina de Papeete : marinadepapeete@portppt.pf
À ce jour (le 27/03/2020), il existe un nombre conséquent de places libres dans la marina de Papeete.

Restez à bord !Vous pouvez sortir

L’ordre de confinement est levé. Le couvre-feu interdit les déplacements de 21h à 5h.
Toutes les activités nautiques sont de nouveau autorisées. Les mouvements des navires sont strictement limités à 2 milles des côtes de l'île où est stationné le navire. Il n'est plus nécessaire d’avoir une attestation pour circuler.

Sources:

http://lexpol.cloud.pf/document.php?document=394570&deb=3590&fin=3593&titre=QXJyw6p0w6kgbsKwIDE2OTggQ0FCIGR1IDI4LzA0LzIwMjA=&fbclid=IwAR2y7L-o4D_CEtjf0TnBaKfy3GBC6whm7_StEhndJ6-27gUnWhcZsqPBPsw

http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/Dossiers/Information-COVID-19/Textes-officiels

Mouillage de Punaauia : la pression s’accentue ! (MAJ)

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Il y a quelques jours, la Marina TAINA a fait distribuer un papier hâtivement photocopié des zones de mouillages, sans plus de précision. Contacté par téléphone, elle précise que son but est informatif et que les bateaux qui mouillent en dehors de ces zones s'exposent à de fortes amendes dès la fin de la saison cyclonique, le 31 mars : "Les premiers qui bougeront trouveront plus facilement des places que ceux qui s'y prendront au dernier moment." - A quel endroit ?? Pour l'instant aucune alternative n'a été proposée.

9 mars 2020 : le port autonome vient de nous confirmer qu'ils attendaient la publication de l'arrêté qui interdirait le mouillage dans le zone et supprimerait la tolérance de 24 h. Ils ne connaissent pas le délai entre la publication de l'arrêté et son application effective qui pourrait être très courte. De plus, la définition de la date de la saison cyclonique est relativement floue.

Cela fait suite à l'installation de deux nouvelles balises, non signalées sur les cartes. La balise rouge agrandit le chenal et met en infraction, du simple fait de sa présence, des bateaux qui était mouillés en dehors du chenal.

Vous trouverez ci-après le texte qui s'applique sur le domaine public maritime de Punaauia. Il ressort que le mouillage est autorisé dans les seules zones indiquées sur ce plan.

Source : http://lexpol.cloud.pf/LexpolAfficheTexte.php?texte=133536. Les plans ci après sont tels que publiés au JOPF

ARRETE n° 339 CM du 27 mars 1987 portant réglementation du mouillage des navires de plaisance dans le domaine maritime lagonaire de Pirae, Papeete, Faaa et Punaauia (circonscription du port autonome de Papeete)
(JOPF du 9 avril 1987, n° 15, p. 618)

Modifié par :

• Arrêté n° 263 CM du 7 mars 1997 ; JOPF du 20 mars 1997, n° 12, p. 570 (1)
+ Jugement TAP n° 97-148 du 14 avril 1997 ; Arrêt CAAP n° 98PA02923 du 28 mars 2000
• Arrêté n° 715 CM du 25 mai 2009 ; JOPF du 4 juin 2009, n° 23, p. 2298
• Arrêté n° 1941 CM du 24 décembre 2013 ; JOPF du 31 décembre 2013, n° 70, p. 13056
• Arrêté n° 135 CM du 16 janvier 2014 ; JOPF du 24 janvier 2014, n° 7, p. 2033 (2)

Le Président du gouvernement de la Polynésie française,

Sur le rapport du ministre de l’équipement, de l’aménagement, de l’énergie et des mines,

Vu la loi n° 84-820 du 6 septembre 1984 portant statut du territoire de la Polynésie française ;

Vu le décret n° 77-778 du 7 juillet 1977 portant règlement international pour prévenir les abordages en mer ;

Vu le décret n° 84-810 du 30 août 1984 relatif à la sauvegarde de la vie humaine en mer, à l’habitabilité à bord des navires et à la prévention de la pollution (JOPF du 11 décembre 1984) ;

Vu la délibération de l’assemblée territoriale n° 62-2 du 5 janvier 1962 portant création et organisation du port autonome de Papeete ;

Vu la délibération de l’assemblée territoriale n° 78-123 du 3 août 1978, portant réglementation en matière d’occupation du domaine public ;

Vu la délibération de l’assemblée territoriale n° 81-17 du 5 février 1981 portant règlement général de police des ports maritimes et rades de la Polynésie française ;

Vu les arrêtés n° 1291 CM et 1297 CM du 21 octobre 1986 portant réglementation du mouillage des navires de plaisance dans les lagons de Arue et de Punaauia, modifiés par l’arrêté n° 98 CM du 30 janvier 1987 ;

Vu l’avis favorable du conseil d’administration du port autonome en ses séances du 19 avril 1985 et du 30 octobre 1986 ;

Le conseil des ministres en ayant délibéré dans sa séance du 25 mars 1987,

Arrête :

Article 1er.— Le présent arrêté a pour objet de réglementer le stationnement et le mouillage des navires de plaisance dans le domaine public lagonaire de Pirae, Papeete et Punaauia (circonscription du port autonome).

Il ne s’applique pas aux navires non pontés d’une longueur inférieure à 6m et ne porte que sur le séjour des navires supérieur à une durée de 24 heures.

Le mouillage de tout navire, et pour quelque durée que ce soit, est rigoureusement interdit dans les chenaux de navigation balisés.

(inséré, Ar n° 263 CM du 7/03/1997, art. 1er) « Par ailleurs, le mouillage forain des navires de plaisance d’une longueur hors tout égale ou supérieure à vingt (20) mètres s’opère obligatoirement dans les zones P1 ou P5 définies à l’article suivant. »

Art. 2. (remplacé, Ar n° 263 CM du 7/03/1997, art. 2) — Le mouillage des navires est interdit en dehors des zones autorisées suivantes :

- Zone P0 marina Lotus (commune de Punaauia) ;
- Zone P1 marina Taina (commune de Punaauia) ;
- Zone P2 Baie de Vaitupa (commune de Faaa) ;
-Zone P3 marina aviation civile, motu Tahiri (commune de Faaa) ;
- Zone P4 rade du port de Papeete (commune de Papeete) ;
- Zone P5 quai des yachts (commune de Papeete) ;
- Zone P6 bassin de Fare Ute (commune de Papeete) ;
- Zone P7 bassin de Patutoa (commune de Papeete).
(ajouté, Ar n° 715 CM du 25/5/2009, art. 1er)
- « Zone P8 marina Taina sud (commune de Punaauia)
- Zone P9
marina Taina nord (commune de Punaauia) »
(remplacé, Ar n° 135 CM du 16/01/2014, art. 1er)
- « Zone P10 nord-ouest de Orohiti (commune de Punaauia)
- Zone P11 nord-ouest du Motu Tahiri (commune de Faa’a)
- Zone P12 nord du Motu Tahiri (commune de Faa’a)
- Zone P13 nord-est du Motu Tahiri (commune de Faa’a) »

Et tel que le tout est défini aux plans n° PA 503.1 et 503.2 en date du 12 février 1997 (remplacé, Ar n° 135 CM du 16/01/2014, art. 1er) « ainsi qu’au plan du port autonome de Papeete n° 14-1 du 9 janvier 2014 »

Art. 3.— A l’extérieur des zones susvisées, le mouillage des corps-morts est interdit, sauf pour les riverains pouvant justifier de leur habitation permanente en bordure de lagon.

A l’intérieur des zones susvisées, le stationnement des navires est autorisé, soit à titre passager sur leur ancrage, soit à titre permanent sur un corps mort.

L’autorisation de mettre en place un corps-mort est délivrée par le capitaine du port pour la zone allant de la pointe Arahiri à la passe de Taapuna.

L’autorisation de stationner est toujours donnée à titre précaire et révocable à tout moment et donne lieu au paiement d’une redevance.

Art. 4.— Stationnement des navires dans les zones autorisées

Le stationnement temporaire des navires dans les zones autorisées doit être signalé au port autonome, bureau des yachts, quai des paquebots, à Papeete, par le propriétaire du navire, dans les 24 heures suivant sa prise de mouillage, ou, au plus tard, le lundi pour le navire arrivé dans le domaine public lagonaire pendant le week-end.

Les déclarations d’arrivée et de départ seront transmises au service des ports et aux communes concernées.

Art. 5.— Tout navire étranger désirant utiliser un mouillage en zone autorisée doit préalablement se présenter aux autorités portuaires du port de Papeete pour y effectuer ses formalités d’arrivée (immigration, douane, port).

Il devra, pour ce faire, utiliser les places à quai disponibles dans la circonscription portuaire du port de Papeete qui lui seront désignées à cet effet.

Art. 6.— Hygiène et prévention de la pollution

En aucun cas, les navires ne pourront rejeter au lagon leurs ordures ménagères et déchets de toutes sortes et les eaux mazouteuses ou chargées de produits toxiques. Le rejet des eaux usées fera l’objet d’une réglementation ultérieure.

Art. 7.— Procès-verbaux

Les infractions au présent arrêté seront constatées et feront l’objet de procès verbaux dressés par :

1°) la gendarmerie maritime ;
2°) la gendarmerie nationale ;
3°) les officiers de port et les agents assermentés du port autonome et du service des ports ;
4°) les agents assermentés des communes concernées et reconnus par le port autonome de Papeete.

Ces procès-verbaux sont transmis au procureur de la République.

Art. 8.— Sanctions

Les infractions aux dispositions du présent arrêtés sont passibles des peines prévues pour les contraventions de 4e classe.

Art. 9.— Compétence

Pour permettre l’application de la présente réglementation, la gestion de tout le domaine public lagonaire de Faaa et Punaauia, jusqu’à la passe de Taapuna, est confiée au port autonome de Papeete.

Art. 10.— Le ministre de l’équipement, de l’aménagement, de l’énergie et des mines est chargé de l’application du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel.

Fait à Papeete, le 27 mars 1987.
Jacques TEUIRA.

Par le Président du gouvernement :
Le ministre de l’équipement, de l’aménagement,
de l’énergie et des mines,
Gaston TONG SANG.

_______________________________

(1) Arrêté n° 263 CM du 7 mars 1997 :

Art. 3.— les dispositions prévues ci-dessus1 prennent effet le 1er avril 1997.

1 (à l’article 2 du présent arrêté)

(2) Arrêté n° 135 CM du 16 janvier 2014 : (annexe présente dans cet arrêté sans notifier sa présence dans le texte d’origine qu’il modifie)

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